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Devenir ou Destin
En marchant , élaborer nos propres chemins ou bien suivre les vieilles ornières.

Vaste amoncellement de réflexions personnelles sur la vie, la science, la politique, la nature?, l’esprit?, parfois les actualités politiques… Dirigés vers un but : élaborer notre propre chemin afin d’éviter le morbide et prévisible destin capitaliste.

Le tout avec de nombreux détours musicaux.

Les Catastrophes passées et futures et le devoir de mémoire
Article mis en ligne le 3 août 2008

Mais à quoi servent donc le "devoir de mémoire?", la propagande faite à propos de la Shoah et les limites légales données au droit d’expression, au droit à la libre parole ? Parce que, s’il est devenu assez délicat de se moquer des juifs, en revanche, de même qu’il est toujours possible de se moquer des belges (je parle de France, je précise à l’intention d’éventuels lecteurs belges), il est aussi possible de traiter les tsiganes de tous les noms parmi les moins révérencieux sans faire broncher grand monde. On peut même les priver de toit – les tsiganes – (et quand je dis "toit"…) et les priver de lieux pour vivre, les priver de tout, cela ne gêne pas grand monde…

A quoi sert cette propagande ? mais à se donner bonne conscience et aussi à blanchir par avance l’Etat d’Israël qui peut ainsi commettre les pires horreurs sans être mis au ban des nations.

Mais cet étrange devoir de mémoire?, étrange parce qu’il ne semble pas couplé au devoir de regarder autour de soi et à celui de penser – bien au contraire –, ce "devoir de mémoire?", cette propagande, n’empêcherait certainement pas un quelconque Etat européen – je ne sais pas, moi, la Russie, l’Italie… – ça n’empêcherait personne? de décider un de ces jours la noyade ou le gazage collectif des tsiganes.

Les tsiganes sont des millions et ils n’ont pas d’existence politique !
Nous les méprisons, oui, mais nous nous souvenons de l’extermination des juifs, parce que nous sommes bons, nous autres vrais européens !

Il y avait aussi des tsiganes dans les camps d’exterminations nazis ?

Ah, bien sûr, mais c’est pas pareil : eux, c’était normal qu’ils y soient, et qu’ils y meurent !
Pardi !