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Devenir ou Destin
En marchant , élaborer nos propres chemins ou bien suivre les vieilles ornières.

Vaste amoncellement de réflexions personnelles sur la vie, la science, la politique, la nature?, l’esprit?, parfois les actualités politiques… Dirigés vers un but : élaborer notre propre chemin afin d’éviter le morbide et prévisible destin capitaliste.

Le tout avec de nombreux détours musicaux.

Se refaire joyeusement un chemin ou bien…
Article mis en ligne le 12 février 2023

Répéter les choses aide à les approfondir, à les préciser. Alors, répétons.

L’homme frappe, viole et tue, pour ainsi dire, dans un même mouvement : l’exercice d’une volonté de domination mise à mal par la force de la femme.

Il n’y a nulle trace de désir sexuel? dans l’affaire. Le problème est de nature? émotionnelle, certes, mais certainement pas sexuel?. `Émotionnel´ ? Oui, la souffrance ressentie par l’homme est traitée comme si elle relevait de l’intellect car la femme, selon une loi supposée naturelle, est une inférieure à l’homme.

Ce genre d’événement arrive lorsque, dans le binôme concerné, la femme ne se trouve jamais à court d’argument mais lui, si, souvent sinon toujours. La situation inverse arrive tout aussi fréquemment, sans doute, mais la femme n’étant pas réputée supérieure à l’homme, la volonté de domination n’est pas présente ou bien est plus efficacement repoussée.

Chercher à dominer l’autre marque généralement une volonté de puissance. Or, cette volonté empêche la venue de la joie, ce qui fait d’elle une source de misère affective et de misère tout court, antagonistes d’une réelle puissance, d’un vrai pouvoir. Régner sur un peuple dans une recherche de domination et non d’harmonie, ce n’est donc rien d’autre que se faire le roi ou la reine d’une misère dont la richesse acquise par cette domination n’est qu’un reflet inversé, ou le vase qui reste plein tant qu’il s’active à maintenir solide le barrage qui empêche les richesses de s’écouler dans le vase vide. Une occupation éternelle qui, dans les mémoires futures, pourra remplacer le mythe de Sisyphe.

La joie dans l’harmonie est à la fois un cheminement et un aboutissement, tandis que la domination n’est qu’un parcours sans fin, un enfer éternel pour le dominant et pour le dominé.

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En France, le président Macron est une bonne figure de cet effet miroir – vases communicants – mythe de Sisyphe. C’est un infiltré du Capital censé en même temps être au service du peuple en le représentant (voir à ce propos « Une manipulation de haut vol prélude à l’apocalypse »). Ce grand imposteur est l’incarnation même du conflit d’intérêt.
Certes, il ne cogne ni ne viole ni ne tue, du moins pas directement. Il est un transmetteur d’ordres, une roue dentée dans une chaîne d’asservissement, un maître empêcheur d’harmonie. Il veut dresser le Capital contre le dérèglement climatique, ce qui équivaut à vouloir guérir un mal par ce qui l’a causé et continue de le causer. À moins qu’il arrive à réaliser une dose homéopathique de Capital… 🤢