Quel est donc l’habile tortionnaire qui m’a appris à toujours interpréter les choses à mon désavantage [1], m’empêchant ainsi d’aller de l’avant ? Je crois bien que c’est ma mère. Elle m’a transmis son savoir-faire, son savoir-ne-pas-être. Sans doute voulait-elle que je paie pour ceux-là dont parle Mary Louise Roberts, les mâles guerriers tout puissants (voir post précédent). Elle m’a offert en sacrifice.
(Oui, bon, je broie du noir et c’est de la faute à personne? ; ça passera, puis ça reviendra encore, ma folie ne semblant pas vraiment disposée à disparaître…)